Archives par étiquette : star

Réussir dans le cinéma-La phrase positive du jour 14

Nouvelle PHRASE DU JOUR de Christophe WEIGERT pour REBOOSTER la MOTIVATION ! Ceci n’est pas LE SECRET de la PENSEE positive, mais une phrase à se répéter régulièrement, à écouter en boucle en MP3. Que de la PRATIQUE ! A vous de jouer !

Abonnez-vous à ma CHAÎNE YOUTUBE ! CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA VIDEO !

Phrase du jour 14

 

Cliquez sur PLAY pour écouter ce PODCAST !

 

TELECHARGEZ CE PODCAST SUR VOTRE ORDINATEUR !

Réussir dans le cinéma-La phrase positive du jour 10

Nouvelle PHRASE DU JOUR de Christophe WEIGERT pour REBOOSTER la MOTIVATION !

Abonnez-vous à ma CHAÎNE YOUTUBE ! CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA VIDEO !

Phrase du jour 10

 

Cliquez sur PLAY pour écouter le POCAST de cette PHRASE !

 

Cliquez ici pour TELECHARGER ce PODCAST sur votre ORDINATEUR !

Un orchestre au travail! L’aile ou la cuisse

Le film « L’aile ou la cuisse » avec Louis De Funès et Coluche.

Regardez bien les instruments en action.

Une musique de Vladimir Cosma.

Un film de Claude Zidi.

Comment faire pour que votre enfant accepte d’aller se coucher sans broncher?

Christophe WEIGERT en exposition de peintureComment faire pour que votre enfant accepte d’aller se coucher sans broncher?

Dans cet article, je vais partager avec vous l’expérience que j’ai vécue personnellement. J’ai découvert une méthode efficace pour que votre enfant accepte d’aller coucher le soir sans pleurer.

Je m’en suis rendu compte totalement par hasard en étant moi-même, un jour dans la situation où j’étais à la recherche d’un programme audiovisuel  assez court. Ma fille qui à l’époque était en bas âge voulait regarder la télé avant d’aller se coucher. Je me suis mis à chercher dans mes cassettes et dvd quelque chose à regarder qui ne prenne pas trop de temps car je voulais qu’elle se couche assez tôt pour être en forme à l’école le lendemain. Je suis tombé sur un film de 15 minutes « Bonne année! » de Jean-Philippe LAROCHE. Elle l’a regardé, elle a rigolé, elle était attentive. Quand nous sommes arrivés à la fin du film, elle a accepté sans problème d’aller se coucher, sans larmes et contente d’avoir vu un film en entier avec son papa avant d’aller au lit.

Christophe WEIGERT à une expositionQuelle est la leçon que j’ai tirée de cette expérience?

J’ai compris que si les enfants ne veulent pas aller se coucher le soir, c’est seulement mon avis, c’est parce que nous (parents)  interrompons l’intérêt suscité par le processus de narration qui se déroule devant leurs yeux en regardant un film. Je m’explique…

Si vous (parents) commencez à regarder le film de la soirée à la télé avec votre enfant dans la pièce qui naturellement, commence à le regarder aussi, vous entrez progressivement dans l’histoire du film. Et si vous vous intéressez de plus en plus à l’histoire du film, votre enfant le fait également. Tout comme vous, et comme n’importe quels spectateurs d’un film, il se demande « Comment le personnage principal va s’en sortir? Que va-t-il lui arriver? Comment le film va-t-il finir? » Le problème, c’est que dans le cas d’un film long métrage, la réponse à ces questions n’arrivent pas avant 1h30 min (en moyenne). Donc, quand on demande à un enfant d’aller se coucher, souvent il râle, car il est tout simplement frustré de sortir du contexte de l’histoire à laquelle il a commencé à s’intéresser. Imaginez que quelqu’un éteigne la télé pendant que vous regardez un film, quelle va être votre réaction? « Eh! Je suis en train de regarder quelque chose, rallume!… »

Et cette réaction est tout à fait normal, car vous êtes entré dans le processus de narration d’un scénario bien écrit qui se déroule devant vos yeux. Vous ne retrouverez une certaine sérénité que lorsque vous serez arrivé au bout de l’histoire au générique de fin.

Pour un enfant, c’est la même chose. Si on lui demande en pleine histoire d’aller se coucher, il aura la même réaction. Et c’est là que se situe l’utilité d’un court métrage. Si je fais une analyse de l’expérience que j’ai vécue avec ma fille, elle a pu voir un film en entier avant d’aller au lit, et ça n’a pris que 15 minutes, et ça s’est fait sans crise. Le rêve, non? Je lui ai fait plaisir, elle a eu l’impression très agréable d’avoir vu un film du début à la fin, donc pas d’interruption, et pas de frustrations. Et ça n’a pris que 15 minutes! Si vous êtes plus pressé et que le temps qu’il reste avant de mettre vos enfants  au lit est 10 ou 5 minutes, pas de souci, il y a des courts métrage de 10 ou 5 minutes, parfois même moins 3 ou 4 minutes. Vous voyez, vous pouvez vraiment faire un menu du soir à la carte selon vos besoins de temps pour vos enfants. En plus, en Belgique, ça tombe bien, il y a un vaste choix de courts métrage à découvrir. Faites la demande à votre vidéo club pour en louer ou éventuellement en acheter. Je vous conseil de les regarder pour les sélectionner avant de les montrer à vos enfants, car il y a clairement tous les styles et les genres. Moi, j’aime bien montrer à ma fille des comédies avec des acteurs réels, ou de temps en temps des films d’animation. Je connais d’ailleurs un producteur de courts métrage qui a un catalogue très bon de courts métrage (acteurs) mais également des films courts d’animation de toutes les durées. Ce sont réellement des films qui peuvent vous rendre service. Ne vous en privez pas, moi, je le fais, et depuis, ça a changé ma vie. Cela a renforcé la complicité que j’ai avec ma fille et c’est génial de voir dans ses yeux autant de reconnaissances. N’avez-vous pas vous aussi envie de rester proche de vos enfants?…

Il y a de très bons courts métrage en Belgique….Où et comment vous en procurer? Ce sera le sujet d’un prochain article….Merci d’avoir lu celui-ci jusqu’au bout. N’hésitez pas à laisser des commentaires ou des questions et à le partager s’il vous a plu. Prochainement, je mettrai des liens de courts métrage sur le site http://reussirdanslecinema.com/ vous pourrez les regarder à volonté! A très bientôt…

© Par Christophe WEIGERT

Dominique Smeets (réalisatrice) : casting pour son prochain film!

Dominique Smeets la réalisatrice du film « Marbie Star de Couillu les 2 Eglises » que j’ai rencontrée pour vous aux arts-ménagers de Charleroi, lance un appel pour vous faire participer au casting de son prochain film.

Cette interview de Dominique Smeets est présentée par Christophe Weigert pour le blog http://reussirdanslecinema.com/

Pour voter du 01 décembre 2014 au 15 janvier 2015
http://www.lesmagritteducinema.com/

Pour plus d’infos
http://www.marbiestar.be/

Partagez cette info importante avec votre entourage et liker cette vidéo et laissez-moi votre commentaire. Merci à vous et bonne chance pour le casting lancé par Dominique Smeets.

© Par Christophe WEIGERT

Comment un court métrage peut-il vous rendre service?

Christophe Weigert en tournage - Réussir dans le cinéma

 

 

Comment un court métrage peut-il vous rendre service?

Dans cet article, je vais vous énumérer les différents services qu’il peut vous rendre selon les cas.

Je m’en suis rendu compte totalement par hasard en étant moi-même, un jour dans la situation où j’étais à la recherche d’un programme audio-visuel  assez court. Ma fille qui à l’époque était en bas âge voulait regarder la télé avant d’aller se coucher. Je me suis mis à chercher dans mes cassettes et dvd quelque chose à regarder qui ne prenne pas trop de temps car je voulais qu’elle se couche assez tôt pour être en forme à l’école le lendemain. Je suis tombé sur un film de 15 minutes « Bonne année! » de Jean-Philippe LAROCHE. Elle l’a regardé, elle a rigolé, elle était attentive. Quand nous sommes arrivés à la fin du film, elle a accepté sans problème d’aller se coucher, sans larmes et contente d’avoir vu un film en entier avec son papa avant d’aller au lit.

Quelle est la leçon que j’ai tirée de cette expérience?

J’ai compris que si les enfants ne veulent pas aller se coucher le soir, c’est seulement mon avis, c’est parce que nous (parents)  interrompons l’intérêt suscité par le processus de narration qui se déroule devant leurs yeux en regardant un film. Je m’explique…

Si vous (parents) commencez à regarder le film de la soirée à la télé avec votre enfant dans la pièce qui naturellement, commence à le regarder aussi, vous entrez progressivement dans l’histoire du film. Et si vous vous intéressez de plus en plus à l’histoire du film, votre enfant le fait également. Tout comme vous, et comme n’importe quels spectateurs d’un film, il se demande « Comment le personnage principal va s’en sortir? Que va-t-il lui arriver? Comment le film va-t-il finir? » Le problème, c’est que dans le cas d’un film long métrage, la réponse à ces questions n’arrivent pas avant 1h30 min (en moyenne). Donc, quand on demande à un enfant d’aller se coucher, souvent il râle, car il est tout simplement frustré de sortir du contexte de l’histoire à laquelle il a commencé à s’intéresser. Imaginez que quelqu’un éteigne la télé pendant que vous regardez un film, quelle va être votre réaction? « Eh! Je suis en train de regarder quelque chose, rallume!… »

Et cette réaction est tout à fait normal, car vous êtes entré dans le processus de narration d’un scénario bien écrit qui se déroule devant vos yeux. Vous ne retrouverez une certaine sérénité que lorsque vous serez arrivé au bout de l’histoire au générique de fin.

Pour un enfant, c’est la même chose. Si on lui demande en pleine histoire d’aller se coucher, il aura la même réaction. Et c’est là que se situe l’utilité d’un court métrage. Si je fais une analyse de l’expérience que j’ai vécue avec ma fille, elle a pu voir un film en entier avant d’aller au lit, et ça n’a pris que 15 minutes, et ça s’est fait sans crise. Le rêve, non? Je lui ai fait plaisir, elle a eu l’impression très agréable d’avoir vu un film du début à la fin, donc pas d’interruption, et pas de frustrations. Et ça n’a pris que 15 minutes! Si vous êtes plus pressé et que le temps qu’il reste avant de mettre vos enfants  au lit est 10 ou 5 minutes, pas de souci, il y a des courts métrage de 10 ou 5 minutes, parfois même moins 3 ou 4 minutes. Vous voyez, vous pouvez vraiment faire un menu du soir à la carte selon vos besoins de temps pour vos enfants. En plus, en Belgique, ça tombe bien, il y a un vaste choix de courts métrage à découvrir. Faites la demande à votre vidéo club pour en louer ou éventuellement en acheter. Je vous conseil de les regarder pour les sélectionner avant de les montrer à vos enfants, car il y a clairement tous les styles et les genres. Moi, j’aime bien montrer à ma fille des comédies avec des acteurs réels, ou de temps en temps des films d’animation. Je connais d’ailleurs un producteur de courts métrage qui a un catalogue très bon de courts métrage (acteurs) mais également des films courts d’animation de toutes les durées. Ce sont réellement des films qui peuvent vous rendre service. Ne vous en privez pas, moi, je le fais, et depuis, ça a changé ma vie. Cela a renforcé la complicité que j’ai avec ma fille et c’est génial de voir dans ses yeux autant de reconnaissances. N’avez-vous pas vous aussi envie de rester proche de vos enfants?…

Quels sont les autres services que les courts métrage peuvent vous rendre?

Par exemple, vous êtes employé(e) de bureau, et pendant la pause café, vous pouvez regarder un film de 5 ou 7 minutes pour vous détendre. Pendant la pause de midi, vous pouvez tout en mangeant vous changer les idées avec un film un peu plus long (15 minutes). Et quand vous avez fini votre travail dans le trajet du retour dans le train, vous pouvez regarder un film de 15 minutes ou plus. Un film ou plusieurs films l’un à la suite de l’autre suivant la durée du trajet.

Vous pouvez organiser entre potes une soirée pizza « spéciale courts métrage ». Avec plusieurs courts métrage tout en buvant un coup (du soft naturellement) C’est un truc sympa, ça! Vous pouvez le faire chez un pote tout un week-end….

Vous voyez comme les idées ne manquent pas?…Il y a plein de possibilités. A vous d’être créatifs (et je suis sûr que vous l’êtes) et d’inventer ce qui vous convient autour des courts métrage. Il y en a de très bons en Belgique….Où et comment vous en procurer? Ce sera le sujet d’un prochain article….Merci d’avoir lu celui-ci jusqu’au bout. N’hésitez pas à laisser des commentaires ou des questions et à le partager s’il vous a plu.

 

©Par Christophe WEIGERT

 

 

 

 

 

 

Comment passer de « acteur semi-professionnel » à « acteur professionnel »?

 

  • Christophe WEIGERT
    Christophe WEIGERT

Comment passer de « acteur semi-professionnel » à « acteur professionnel »?

D’abord que veut dire le terme « semi-professionnel »? C’est plus qu’un « amateur » qui aime ce qu’il fait mais qui ne le fait pas forcément bien. Un chanteur ou un acteur qui joue ou chante mal, aime ce qu’il fait, car il est passionné par l’activité qu’il exerce, mais il casse les oreilles de tout le monde. Il est en général le seul à se trouver bien. Il fait ça le dimanche quand il a le temps. Un « semi-professionnel » est quelqu’un qui aime ce qu’il fait, mais qui va se donner les moyens pour le faire dans les règles de son art. Son engagement dans son activité de prédilection est en général plus profond que celui de « l’amateur ». C’est déjà presque un professionnel qui a des années d’expériences dans sa spécialité. Il ne lui manque pas grand chose pour devenir un vrai professionnel. Nous allons voir quoi dans cet article. Je vais tout vous dire…

Comment procéder?

Ce que je vais vous révéler ici, est applicable dans tous les domaines, quelle que soit votre activité. Si vous avez choisi d’être acteur ou chanteur ou autres,…c’est que vous aimez ça. Alors faites-le avec passion, mais surtout avec sérieux et régularité. Quand on est un artiste, on l’est complètement. Il n’y a pas de demi-mesure. Ou vous l’êtes, ou vous ne l’êtes pas. Si vous vous levez le matin en vous disant « C’est ça que je veux faire et pas autre chose », très bien, vous aurez déjà découvert ce qui vous fait « vibrer » vraiment.

A partir de ce moment-là, soyez entier! Plongez tête baissée dans votre domaine. On n’est pas artiste à mi-temps. Si c’est dans votre nature, elle vous poursuivra partout où vous allez. Si vous avez un boulot en plus de votre activité, vous la trainez avec vous, et si c’est le cas, vous avez sûrement déjà remarqué que vos pensées sont plus orientées sur votre activité artistique que concentré sur votre travail qui vous permet de payer vos factures. Donc, on est ce qu’on est et il ne faut pas chercher à combattre ça. Si vous avez une nature d’artiste, inutile de chercher le bonheur professionnel ailleurs. Vous pourrez travailler dans un snack, ou en usine, dans les bureaux,… aucun boulot ne saura vous rendre plus heureux que l’activité artistique pour laquelle vous êtes fait. Prétendre le contraire serait se mentir à soi-même.

Bien souvent j’ai entendu des gens dire « C’est pas le genre de boulot que je rêvais quand j’étais jeune, mais bon… » ou encore « J’étais doué pour le dessin, mais mes parents ont préféré que je fasse des études plus sûres. » Je me suis rendu compte finalement que pas mal de gens ne se sentent pas à leur place dans le boulot qu’ils ont. Quand on parle un peu avec eux, on constate qu’en réalité ils avaient peur de ne pas réussir, ou pire encore, peur de la réussite elle-même. La réussite peut faire peur aux gens. C’est à cause de l’habitude. Plus vous avez l’habitude de ne pas réussir ce que vous entreprenez, plus la réussite vous fait peur.

Mais revenons au sujet de cet article qui est comment devenir un professionnel quelle que soit votre activité? L’important est d’être immergé totalement dans cette activité. Comment l’être? C’est très simple. C’est juste une question d’état d’esprit. Décidez dès maintenant, d’être un professionnel. Formulez dans votre esprit cette idée de cette manière « A partir de maintenant, je suis un professionnel. Je ne suis plus un amateur, mais un pro. » Cette idée affirmée de cette manière va faire en sorte que vous allez adopter l’attitude qu’il faut pour devenir un pro. Vous allez penser d’une autre manière. Vous allez agir d’une autre manière. Vous allez travailler comme un pro et non plus comme un amateur. C’est-à-dire que vous allez travailler avec régularité (tous les jours) et discipline (ne plus se contenter d’un résultat moyen mais viser l’excellence) Et ne plus penser comme ceci « Oh! C’est bon comme ça… » Combattez de toute urgence « l’autosatisfaction ». Être trop vite satisfait de ce qu’on a accompli empêche de progresser. Par contre, se remettre systématiquement en question, est très bon pour la créativité. Mais attention, ne tombez pas dans l’excès inverse. Ne jamais être content de ce qu’on a fait, n’est pas bon non plus. Sachez vous réjouir de ce que vous avez accompli tout en sachant qu’on peut toujours faire mieux, mais que la perfection n’existe pas en ce monde.

Souvenez-vous, j’en ai parlé dans un autre article dans lequel il y avait ce genre de phrase : »Sachez fêter les petits succès« . Dans ce contexte, ce conseil est d’application. Comme maintenant vous avez décidez de devenir un pro, vous allez prendre exemple sur ceux qui sont déjà des pros dans votre spécialité. Vous allez être à la recherche d’un coach qui vous accompagnera dans votre évolution. Si vous êtes acteur, vous pouvez envisager de travailler avec un coach (scènes, préparation de castings, diction,…) pour entretenir vos outils de travail (corps et voix). Si vous êtes chanteur, c’est pour entretenir votre technique vocale et votre respiration. Si vous êtes scénariste, c’est pour vous accompagner dans le processus de création de votre histoire pour ne pas perdre la main, par exemple. Le principe de coaching est un bon truc pour lutter contre la démotivation car en travaillant à deux on se motive plus facilement et dans les moments où vous pourriez vous décourager, le coach peut intervenir pour vous rebooster et vous remettre sur les rails du succès. Vous n’êtes plus seul, et c’est très confortable de travailler comme ça.

Tous les acteurs, même s’ils sont devenus des vedettes depuis leurs débuts, pratiquent régulièrement leur art avec un coach pour rester au top. Ils continuent de se former à de nouvelles techniques de jeux. Même à leur niveau, ils peuvent en apprendre tous les jours, et ils le savent. Peut-être qu’ils ne le font pas tous, mais, il y en a beaucoup qui le font. Prendre exemple sur la personne qui a réussi de la manière dont vous rêvez pour vous-même est un bon principe. S’identifier à un model est très motivant et riche d’enseignements. Tous les grands cinéastes ont leur « mentor ».

Trouvez-vous vous aussi votre « mentor » et inspirez-vous de lui, de son parcours. Qu’a-t-il fait pour arriver là où il est? Quel méthode a-t-il utilisée? Si vous faites la même chose que lui, il y a de fortes chances pour que ça marche pour vous aussi. Si vous ne le connaissez pas personnellement, essayez de le rencontrer. Si c’est pas possible, lisez les interviews de lui dans les revues spécialisées, parfois ils se confient en laissant passer des infos sur ce qu’ils ont dû faire pour y arriver. Je vous ai dit plus haut que c’est avant tout un état d’esprit. En effet, c’est tellement vrai que si vous envisagez votre activité artistique comme un hobby, ça ne deviendra jamais rien d’autre qu’un hobby. Si vous pensez « ça c’est mon hobby, je le fais le week-end en plus de mon boulot de la semaine si je ne suis pas trop fatigué. »,  ça ne deviendra jamais un métier. Je connais plein de chanteurs qui font des podiums à la qualité de son discutable, qui continuent et continuent d’en faire pendant des années, en espérant tomber sur un producteur qui flashent sur eux, jusqu’au jour où ils arrivent à 50 ans fatigués et désillusionnés, il ne s’est absolument rien passé pour eux. Il en découle un pessimisme contagieux, ces chanteurs continuent encore car ils sont passionnés par ce qu’ils font et c’est normal, mais ils n’y croient plus, et encore, quand ils ont encore des rêves.  Bien souvent, à ce stade-là, ils n’en ont plus, malheureusement. Donc, si vous êtes chanteur, fuyez les podiums de mauvaises qualités. Ils ne vous mettent pas en valeur et ils n’y a rien à y gagner en fin de compte. Surtout que la plupart des organisateurs de ce genre d’évènements essayent toujours d’avoir les chanteurs gratuitement, et c’est scandaleux! En comparaison, il y a, heureusement des professionnels d’évènements qui organisent des podiums de qualité, et qui le font très bien. Il faut juste savoir où les trouver.

Mais avant d’envisager de les contacter, il faut que vous passiez du statut « d’amateur » à « professionnel ». Inutile de sauter des étapes. Ils n’accepteront pas n’importe quelle qualité musicale, vous vous en doutez. Avant de contacter des pros dans le domaine de votre activité, devenez vous-même un pro pour pouvoir négocier d’égale à égale. Et là, vous avez des chances de réussir.

Voilà, j’ai fait le tour de la question, je pense. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à les formuler sous forme de commentaire en me laissant votre e-mail que je ne divulguerai pas, et je me ferai un plaisir de vous répondre, soit par un autre commentaire, comme ça, tous les visiteurs de ce site pourront profiter de la réponse à une question qu’ils se posent peut-être eux aussi, ou par mail. Merci à vous et à bientôt sur http://reussirdanslecinema.com/

© Par Christophe WEIGERT